L'Anses a lancé un pavé dans la mare du projet de réglementation des OGM. Dans un rapport[1] publié le 21 décembre, suite à une auto-saisie, l'Agence nationale de sécurité sanitaire indique que le seuil de 20 modifications au sein du génome qui constitue la clef de voûte du raisonnement de la Commission européenne pour déréglementer les nouveaux OGM n'a "aucune justification scientifique" ! Les autres critères proposés, basés sur les seules déclarations des industriels considérées comme ...
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